Esaïe 15
Mercredi 29 novembre 2006 //
Le texte du livre d’Esaïe
Esaïe chapitre 15
- Oracle sur Moab. La nuit même où elle est ravagée, Ar-Moab est détruite ! La nuit même où elle est ravagée, Kir-Moab est détruite !...
- On monte au temple et à Dibon, Sur les hauts lieux, pour pleurer ; Moab est en lamentations, sur Nebo et sur Médeba : Toutes les têtes sont rasées, Toutes les barbes sont coupées.
- Dans les rues, ils sont couverts de sacs ; Sur les toits et dans les places, Tout gémit et fond en larmes.
- Hesbon et Élealé poussent des cris, On entend leur voix jusqu’à Jahats ; Même les guerriers de Moab se lamentent, Ils ont l’effroi dans l’âme.
- Mon cœur gémit sur Moab, Dont les fugitifs se sauvent jusqu’à Tsoar, Jusqu’à Églath Schelischija ; Car ils font, en pleurant, la montée de Luchith, Et ils jettent des cris de détresse sur le chemin de Choronaïm ;
- Car les eaux de Nimrim sont ravagées, L’herbe est desséchée, le gazon est détruit, La verdure a disparu.
- C’est pourquoi ils ramassent ce qui leur reste, Et ils transportent leurs biens au delà du torrent des saules.
- Car les cris environnent les frontières de Moab ; Ses lamentations retentissent jusqu’à Églaïm, Ses lamentations retentissent jusqu’à Beer Élim.
- Les eaux de Dimon sont pleines de sang, Et j’enverrai sur Dimon de nouveaux malheurs, Un lion contre les réchappés de Moab, Contre le reste du pays.