1 Corinthiens 1

Mardi 21 novembre 2006 // Le texte de 1 Corinthiens

Première Épître de Paul aux Corinthiens chapitre 1

Paul, appelé à être apôtre du Christ-Jésus par la volonté de Dieu, et le frère Sosthène, à l’Église de Dieu qui est à Corinthe, à ceux qui ont été sanctifiés en Christ-Jésus, appelés à être saints, et à tous ceux qui, en quelque lieu que ce soit, invoquent le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, leur Seigneur et le nôtre : Que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! Je rends continuellement grâces à Dieu à votre sujet, pour la grâce de Dieu qui vous a été accordée en Christ-Jésus, de ce que vous avez été enrichis en lui, en toute chose, en toute parole et en toute connaissance car le témoignage de Christ a été fermement établi en vous. Ainsi donc, il ne vous manque aucun don, dans l’attente où vous êtes de la révélation de notre Seigneur Jésus-Christ. Il vous affermira aussi jusqu’à la fin, (pour que vous soyez) irréprochables au jour de notre Seigneur Jésus- [Christ] . Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur. Je vous exhorte, frères, par le nom de notre Seigneur Jésus-Christ : tenez tous le même langage, qu’il n’y ait pas de divisions parmi vous, mais soyez en plein accord dans la même pensée et dans la même opinion. Car, mes frères, j’ai appris à votre sujet, par les gens de Chloé, qu’il y a des discordes parmi vous. J’entends par là que chacun de vous dit : Moi, je suis de Paul ! — et moi, d’Apollos ! — et moi, de Céphas ! — et moi, de Christ ! Christ est-il divisé ? Est-ce que Paul a été crucifié pour vous, ou bien est-ce au nom de Paul que vous avez été baptisés ? Je rends grâces de n’avoir baptisé aucun de vous, excepté Crispus et Gaïus. Ainsi personne ne peut dire que vous avez été baptisés en mon nom. J’ai encore baptisé la famille de Stéphanas, du reste, je ne sais pas si j’ai baptisé quelqu’un d’autre. Car Christ ne m’a pas envoyé pour baptiser, mais pour annoncer l’Évangile, et cela sans la sagesse du langage, afin que la croix du Christ ne soit pas rendue vaine. Car la parole de la croix est folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est puissance de Dieu. Aussi est-il écrit : Je détruirai la sagesse des sages, Et j’anéantirai l’intelligence des intelligents. Où est le sage ? où est le scribe ? où est le contestataire de ce siècle ? Dieu n’a-t-il pas frappé de folie la sagesse du monde ? Car puisque le monde, avec sa sagesse, n’a pas connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication. Les Juifs demandent des miracles, et les Grecs cherchent la sagesse : nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens, mais pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs, Christ, puissance de Dieu et sagesse de Dieu. Car la folie de Dieu est plus sage que les hommes, et la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes. Considérez, frères, comment vous avez été appelés : il n’y a parmi vous ni beaucoup de sages selon la chair, ni beaucoup de puissants, ni beaucoup de nobles. Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages ; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes ; Dieu a choisi les choses viles du monde, celles qu’on méprise, celles qui ne sont pas, pour réduire à rien celles qui sont, afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu. Or, c’est par lui que vous êtes en Christ-Jésus qui, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, et aussi justice, sanctification et rédemption, afin, comme il est écrit : Que celui qui se glorifie se glorifie dans le Seigneur.

Répondre à cet article