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- La grâce toute suffisante
- Paul face à son Dieu
- Pleine suffisance de la grâce de Dieu
- Le choix de la faiblesse
Paul apprend à souffrir
Il reçoit des explications personnelles. La maladie de Paul, quelle qu’elle ait été, l’a maintenu dans l’humilité. Par trois fois, il demande le retrait de cette écharde. Paul est un homme de prière, pas un moulin à parole. Paul est conscient de ses demandes, il tient le compte mais il y a soumission, pas de rébellion, une entière acceptation. Paul reçoit une explication : il risquerait d’être enflé d’orgueil. Il nous faut comprendre et accepter les décisions de Dieu, être sûr qu’elles sont toujours dans notre intérêt. Il faut accepter l’idée de la souveraineté de Dieu, et pas seulement quand elle va dans notre sens.
« Ma grâce te suffit »
Il n’est pas facile de comprendre cette phrase. Dieu a un regard pour chacun de nous. Ce n’est pas un minimum, c’est une ressource maximum. Il me faut apprendre à puiser dedans. Le Seigneur est derrière nous, il connaît notre cœur, il connaît l’homme. Je peux trembler, mais Dieu ne tremble pas. Nous profitons de son expérience. Quelle est la valeur de ce que Dieu me donne ?
Le choix de la faiblesse
C’est un choix clairement fou à vue humaine. Paul a découvert que pour voir le Seigneur agir puissamment, il faut choisir de se laisser faible. Ce n’est pas une invitation à la négligence. Avons-nous peur de nos incapacités ? Nous pouvons les remettre au Seigneur. C’est une assurance merveilleuse que de savoir que Dieu est fort à ma place.
Conclusion
- Premièrement, moi face à mon Dieu.
- Deuxièmement, ai-je compris ? Est-ce que j’accepte ?
- Troisièmement est-ce que je choisis la puissance de Dieu ?
Si on n’est pas proche de Dieu, on ne comprend pas qu’il dise non. Nous devons être proche de Dieu.
Actes chapitre 9 versets 1 et 16
Cependant Saul, qui respirait encore la menace et le meurtre contre les disciples du Seigneur, se rendit chez le souverain sacrificateur
2 Corinthiens chapitre 11 versets 23 à 29
Sont-ils serviteurs de Christ ? — je parle en termes extravagants — je le suis plus encore : par les travaux, bien plus ; par les emprisonnements, bien plus ; par les coups, bien davantage. Souvent en danger de mort, cinq fois j’ai reçu des Juifs quarante coups moins un, trois fois j’ai été battu de verges, une fois j’ai été lapidé, trois fois j’ai fait naufrage, j’ai passé un jour et une nuit dans l’abîme. Souvent en voyage, (exposé) aux dangers des fleuves, aux dangers des brigands, aux dangers de la part de mes compatriotes, aux dangers de la part des païens, aux dangers de la ville, aux dangers du désert, aux dangers de la mer, aux dangers parmi les faux frères, au travail et à la peine ; souvent dans les veilles, dans la faim et dans la soif ; souvent dans les jeûnes, dans le froid et le dénuement. Et sans parler du reste, ma préoccupation quotidienne : le souci de toutes les Églises ! Qui est faible, que je ne sois faible ? Qui vient à tomber, que je ne brûle ?
2 Corinthiens chapitre 12 versets 7 à 10
à cause de l’excellence de ces révélations. Et pour que je ne sois pas enflé d’orgueil, il m’a été mis une écharde dans la chair, un ange de Satan pour me souffleter, pour que je ne sois pas enflé d’orgueil. Trois fois j’ai supplié le Seigneur de l’éloigner de moi, et il m’a dit : Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi. C’est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les outrages, dans les privations, dans les persécutions, dans les angoisses, pour Christ ; en effet quand je suis faible, c’est alors que je suis fort.